Voir la liste de ses 10 plus grands morceaux

Cet article a été publié à l’origine en 2014, mais nous le dépoussiérons pour l’anniversaire de Moby le 11 septembre.


Cette semaine, Moby revient avec son 15ème album studio, Tout était beau et rien ne blessaitqui tire son nom d’une citation qui apparaît dans le roman classique de Kurt Vonnegut Abattoir-Cinq. Pour fêter ça, nous avons décidé de rouvrir le répertoire exhaustif du compositeur de Brooklyn devenu Los Angeles et de choisir nos 10 meilleures chansons préférées. Nous sommes tombés sur une liste que nous diffuserons encore et encore. Partout.

Voici les 10 meilleures chansons de Moby.


10. « Il pleut encore »

Album: Hôtel (2005)

Le côté ambiant rare et souvent oublié de Hôtel l’emporte sur le disque réel qui a fait surface en 2005. Pourtant, « Raining Again » ressemble toujours à une victoire triomphale pour le DJ orienté pop. C’est la guitare slide pour la victoire, et quand elle se termine à 00:56, le morceau éclate dans cet étrange assemblage de folk, de gospel, de rock et d’électronica. C’est aussi proche de l’organique que vous pouvez l’obtenir avec l’électronique moderne aujourd’hui. Eh bien, peut-être. — Michael Roffmann

09. « Se sentir si réel »

Album: Tout est faux (1994)

N’oubliez pas que les racines de Moby remontent aux clubs grungy. Son single « Feeling So Real » de 1994 reste un coup de pied rapide à la tête, le genre de jam frénétique encore utilisé à bon escient par les DJ qui ont un besoin urgent de réveiller les foules du lundi matin. Les gémissements de la banshee de Rozz Morehead tournent comme Sonic the Hedgehog alors que le hardcore breakbeat éclate et ricoche comme une balle en caoutchouc dans une pièce métallique. Il n’a pas créé de chaos comme celui-ci depuis. – M

08. « Erreur »

Album: Attends-moi (2009)

« Ne me laisse pas refaire la même erreur », chante Moby sur des percussions tumultueuses et des guitares désolées. Son album Top Star en 2009, Attends-moi, a été criminellement négligé par les critiques et les fans – et par procuration, « Mistake » l’était aussi. Bien qu’il commence avec ses cordes de synthé emblématiques, c’est le chantournage aiguilleté qui se marie le mieux avec le lyrisme écrasant. Il y a un sombre mystère dans la façon dont la guitare s’envole dans les abysses. – M