Nous avons entendu les lecteurs de Metal Injection. Nous avons entendu le personnel du site. Nous nous tournons désormais vers les personnes qui contribuent à toutes les listes et critiques merveilleusement rédigées. Découvrez tous leurs choix – qui ne sont volontairement pas tous des grands noms – ci-dessous !
L’Anchoret – Tout a commencé avec la solitude
L’Ancretle récent album de Tout a commencé avec la solitude est une exploration à la fois complexe et magnifiquement stimulante de l’introspection et de la solitude. Le groupe mélange ses fondations de métal progressif avec un large éventail d’influences, dont le jazz, le blues et la musique classique, pour créer un son à la fois évocateur et contemporain. Les textures ambiantes vont de pair avec les nuances mélancoliques, chaque morceau se déroulant comme un chapitre d’une histoire profondément personnelle.
Les chansons sont subtilement développées, avec des détails complexes qui les distinguent, dans un genre inondé d’un inquiétant manque d’originalité. Leur son est complexe, mais ils parviennent à éviter le piège courant de devenir trop chaotique. Au total, un premier album remarquable, d’un groupe qui mérite d’être découvert par la communauté du prog-metal. – Joël Barrios
Parpaing CA – L’ère des attitudes
On pourrait penser que la lutte professionnelle des années 90 et le hardcore des durs à cuire ne sont pas assez explorés, du moins pas au même degré que les nouveaux venus hardcore de Los Angeles. Parpaing. Leur combinaison du hardcore classique de la côte Est et du style beatdown plus tendance est accompagnée d’échantillons de pure dégénérescence du WWF des années 90. Les œufs de Pâques incluent un WOOO de Ric Flairbonjour mesdames de Macho Mansans oublier une promo classique de Pierre froide Steve Austin. C’est fait avec autant de goût que possible, avec des riffs accrocheurs et des grooves moshables pour démarrer. C’est dur comme un clou, complété par un bon sens de l’humour. Parpaing montre qu’il n’y a rien de mal à rire avec ses amis avant de les envoyer en suplex au centre de la Terre. – Max Heilmann
Horrible – Mystère ontologique
Ce quatuor de Philadelphie est capable de s’inspirer de groupes de metal classiques comme Jeune fille et associez-les à des maîtres du death metal influencés par le prog des années 90 comme Cynique et Athée. Au sommet de la scène metal extrême en termes de musicalité, ce groupe renonce aux structures de chansons metal traditionnelles et crée quelque chose de vraiment unique et original. Il n’y a vraiment rien qui ressemble à ce groupe et c’est vraiment difficile de ne pas aimer ces gars-là. Ils rendent le métal extrême amusant et revigorant. – Jeff Podoshen
Auberge – Longue durée de vie
À mon avis, Høstsolles débuts, Longue durée de vie, se classe parmi les plus grands albums de black metal de tous les temps. Ce chef-d’œuvre présente Brillantc’est Niklas Kvarforth et Mânes‘ Cernunusainsi que Ajattara camarades du groupe Rainer Tuomikanto et Kalmos. Les brillantes paroles du premier morceau phénoménal, « As Seen Through the Eyes of the Prophet », ont été écrites par Tuomas Tahvanainen de Prophète froid. Les textes poétiques tout au long du disque sont d’une pure perfection tout comme les compositions et performances de chaque membre. M. Kvarforthla voix de est tout simplement sublime. – Jillian Drachman
Pouvoir judiciaire – Chair + Sang
Les pulvérisateurs élevés au Texas, Judiciary, ont pris tous les sous-genres du hardcore et les ont fusionnés avec du thrash classique et Gojira faire Chair + Sang. C’est tellement lourd… si précis… si apparemment sans effort, et pourtant totalement unique. Chair + Sang a été injustement endormi pendant toute la durée de 223, alors relevez la tête de l’oreiller et écoutez cette bête. – Graham Hartmann
Jeu sans fin – Tollé
Alimenté par le pouls du hardcore old-school, groupe de Detroit Jeu sans fin a marqué l’été avec son deuxième album complet Tollé. Une fonctionnalité de suivi de Piégé sous la glacec’est Le juge Trippdes moments de guitare métal saccadés et des mélodies de groupe font de ce disque un groupe unique parmi les groupes confinés à un son singulier. Jeu sans fin a ordonné aux anciens et aux nouveaux fans hardcore de prêter attention à leur premier album de 2019 Juste un autre jouret après Tollé, je ne peux pas arrêter d’écouter. – Caitlin McMahon
Porteur de la peste – Invoquer la dévastation apocalyptique
Je suis un grand fan de Seattle Tirés et découpés depuis de nombreuses années, mais je n’y avais pas prêté suffisamment d’attention Kelly Kuciemba et Herbe Burkel’autre projet, Porteur de la peste. Cette année m’a finalement obligé à corriger mon erreur avec l’Invocation absolument phénoménale Dévastation apocalyptique. Imaginez le death metal de style Incantation/Immolation défendu par Tirés et découpéspuis mélangez-y des éléments de black metal plus mélodiques, et vous obtenez l’irrésistible breuvage stylistique hérétique concocté sur cet album.
Portez une attention particulière à la brutalité mélancolique exposée sur « Decapitated Angels », « Under One Sign » et « Church Are In Flames » pour voir ce que je veux dire. D’un autre côté, si vous avez simplement envie d’une terreur sonore vicieuse, vous devez vraiment écouter « Rise of the Goat » et « Unholy Black Satanic War Metal ». C’est pour cela que le métal extrême était censé être contagieux, exaltant et au moins un peu effrayant. – J.André
Réticulatus – Réticulatus
Cette année, l’EP qui s’impose comme mon préféré est l’album éponyme de Réticulatus, abandonné il y a à peine deux semaines. Originaire de l’Ohio, ce quatuor de beatdown apporte une fusion de La haine race et Suisse au visage pâle des vibrations, que j’apprécie absolument. Je suis un fan total de ces riffs intenses et lourds, et ils délivrent cette énergie brute et directe tout au long de l’EP, gardant ces souffles vivants et dynamiques. – David Pape
VVON DOGME I – Le Kvlt de Glitch
Lors de sa deuxième sortie solo ex-inattendu bassiste ChaotH (Frédérick Filiatrault) a fusionné l’edm avec quelques saveurs de métal progressif, le surmonté de Cynique-like vocodeur, et a discrètement sorti un chef-d’œuvre prog. Son travail de basse à neuf cordes reste la pièce maîtresse du disque, mais d’une manière où les chansons ne sont pas seulement un véhicule de sa virtuosité. Le Kvlt de Glitch est un parcours progressif qui comprend même un Radiohead couverture qui ressemble à peine au matériel source. – Daniel Cordoue
Xérosync – 4point8
Le premier LP de Xérosynchronisation (Mile marqueur zéroc’est Jake Sibéron et John Tuohy), 4point8 est une expérience prog sauvage basée sur Game of Thrones. En termes simples, c’est un voyage remarquable rempli d’écritures émouvantes et d’instruments aux couleurs complexes. Les deux premiers morceaux à eux seuls (l’instrument cosmique « Competing Powers » et la ballade magnifiquement sophistiquée « The Ashes of You ») mettent en évidence leur talent pour fusionner les complexités futuristes de, disons, Théâtre du Rêve et Ayréon avec l’écriture de chansons de premier ordre de Bord de rivière et Le voleur d’ananas. Heureusement, le reste de la séquence tient cette promesse, ce qui rend 4point8 une introduction magistrale qui mérite d’être vécue. – Jordan Blum