Le son idiosyncratique et éprouvé de Walker & Royce s'étend dans l'album Sophomore, "Pas grave"

La trajectoire suivie par Sam Walker et Gavin Royce a été définie par la rébellion. Peu de temps après avoir commencé leur partenariat sous le nom de Walker & Royce, le duo de house music basé à New York avait pour objectif de bouleverser l'industrie en évitant les courants sous-jacents pragmatiques de l'époque pour partager un son plus décalé et plus original.

Très vite, les sifflements, oscillations et trilles qui accompagnaient leurs lignes de basse tonitruantes sont devenus synonymes des productions avant-gardistes concoctées par le duo. Après un partenariat avec le bien-aimé Dirtybird Records, leur notoriété a considérablement augmenté avant de culminer avec la sortie de leur premier album, 2017. Auto-assistance.

Au fil des années, le tandem a continué à façonner la scène house music avec ses rythmes contagieux, en sortant des disques à succès comme « Dance with Me » (avec Chris Lake), « Rave Grave » (avec VNSSA) et leur remix impeccable de « San » de Dom Dolla. François. »

Cependant, après sept années et d'innombrables succès, Walker & Royce donnent enfin suite à leur œuvre originale avec leur deuxième album tant attendu, Pas grave.

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S'en tenant à leur méthode éprouvée, Pas grave met le son idiosyncratique des producteurs au premier plan. Du début à la fin, le projet présente une collection de radiateurs prêts pour la piste de danse soulignant l'excentricité de la marque Walker & Royce.

Dès la lecture de l'album de 10 titres, vos sens sont en éveil. Alors que l'ouverture « Let's Live It Up » se développe, son chanteur, Harm Franklin, nous rappelle notre mortalité et nous exhorte avec impatience à adopter le mantra derrière son titre avant de nous plonger directement dans une signature, une ligne de basse percutante de Walker & Royce.

Le disque plonge ensuite dans un duo de voix maussades fournies par le chanteur nominé aux Grammy Awards Barry Bones. Dans « Fatalistic Groove », le travail de Bones aux côtés de grooves de synthé rappelle l’électro des débuts des années 80. En revanche, ses notes dans « Cheap Thrills » flottent alors que des mélodies poignantes transpercent le mix.

Walker et Royce.

Myles Heidenreich

Ailleurs sur Pas grave, nous trouvons Wakler & Royce s'associant à leur collaborateur de longue date VNSSA pour proposer un autre banger palpitant, « I Don't Remember ». Dans « Tha Tea », tout est thé et toute ombre alors que la coupe bancale et bancale offre quelques leçons de lecture. Parce que lire, c'est quoi ? Fondamental. (Merci RuPaul).

L'album est clôturé par deux morceaux illustrant le voyage non conforme que Walker & Royce continuent de forger. Dans « Stop Time », le duo fait appel à Glass Petals et Elohim pour concocter un boomerang d'une chanson. Équipé d'une progression d'accords stellaire, il commence comme un morceau doux et mélodique avant de se transformer en un banger riche en basses.

Pendant ce temps, dans « Did You Mean It » avec ZOF, les garçons se retrouvent plongés dans le royaume de la drum & bass. Agissant comme un atterrissage en douceur sur une course autrement turbulente, la chanson peut être un indice de ce qui va arriver dans les sons en constante évolution de Walker & Royce.

Pas grave est maintenant disponible via Dirtybird Records. Écoutez l'album complet ci-dessous et retrouvez-le sur les plateformes de streaming ici.

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