Justifié: City Primeval Review: le retour satisfaisant de FX Show

Le pitch : Un cinéaste célèbre a dit un jour : « Les films ne sont jamais terminés ; ils sont seulement abandonnés. (George Lucas obtient souvent le crédit pour la citation, mais il l’attribue à un autre cinéaste célèbre.) Peu importe qui l’a créé, car ces mots ont une signification très différente dans notre paysage hollywoodien actuel.

Les histoires sont rarement, voire jamais, terminées de nos jours, car il y a toujours une raison pour plus une fois les rideaux fermés. Peut-être que ces histoires ressuscitent pour des raisons créatives. Le plus souvent, la motivation commence et se termine avec le compte bancaire de quelqu’un, mais parfois c’est les deux. Quoi qu’il en soit, nous vivons dans un monde où personne n’ose prononcer la phrase «Et puis ils ont vécu heureux pour toujours…» car il y a de fortes chances que ce morceau de culture pop bien-aimé revienne dans nos vies plus tôt que tard.

Entrer Justifié : City Primeval, le prochain chapitre de FX Justifiéqui a mis fin à ses six saisons en 2015. Avec Timothy Olyphant dans le rôle du sous-maréchal américain Raylan Givens, Ville primitive a la tâche peu enviable de porter le poids de cette émission acclamée sur ses épaules et d’ajouter plus de chapitres à une histoire qui a bloqué l’atterrissage avec aplomb il y a huit ans. Non seulement cela, la série limitée de huit épisodes présente un Raylan plus âgé à Detroit et non au Kentucky, qui dépouille le spectacle d’un cadre familier et de personnages que les fans sont venus adorer comme une couverture chaude : Nouvelle ville, nouveaux personnages et aucun de les pièges qui ont fait JustifiéBien, Justifié.

Et pourtant, contre toute attente, Justifié : City Primeval dépasse même les attentes les plus élevées. Plutôt que de recréer ce qui a précédé, cette série trouve sa place en restant fidèle au monde – et aux règles – créé par l’auteur Elmore Leonard, tout en trouvant de nouveaux défis pour le sous-maréchal américain qui berce le Stetson et traite chaque situation comme s’il était Gary Cooper dans Plein midi.

La ville: Le Justifié le personnel de rédaction portait des élastiques avec « WWED » (What would Elmore Do?) gravé comme rappel. Ville Primeval, créé par deux de ces écrivains, réussit parce qu’ils ont fait avancer ce mantra. Arrêt complet. Les événements de la série se déroulent pour les mêmes raisons que dans la série 2010 : cupidité, ego, stupidité, imprudence et, bien sûr, chance. Les criminels de la série, notamment Clement Mansell (Boyd Holbrook), se retrouvent souvent du mauvais côté du baril grâce à des actions stupides au mauvais endroit à des moments de plus en plus mauvais.

L’émission souligne ce point en établissant un petit incident incitatif qui fait passer Raylan de la Floride à Detroit. Et la seule raison pour laquelle le sociopathe Mansell est sur le radar de Raylan est qu’un ensemble de dominos proverbiaux vient de tomber dans la direction du maréchal.

Examen justifié de la ville primitive

Justifié : City Primeval (FX)