Carach Angren sont prêts à revenir à leurs racines cette année avec Le culte de Karibaun nouvel EP qui entoure encore une fois l'histoire, le folklore et le black metal théâtral en un récit effrayant.
Pour sa sortie bientôt, le record revisite le Mythos exploré pour la première fois lors de leurs débuts en 2008 Lammendammais avec une portée plus large et une ambition plus sombre. Où Lammendam raconté de la dame blanche qui hantant les bois de Schinveld, Le culte de Kariba élargit l'histoire en introduisant une nouvelle figure sombre: Karibaun empoisonneur, une sorcière accusée et un esprit de vengeance dont la légende a enduré dans des fragments de poésie, des jeux de scène oubliés et des traditions orales.
L'EP se déroule comme un récit en cinq parties, chaque piste se déplaçant plus profondément dans l'histoire d'un culte clandestin déterminé à ressusciter Kariba. Ouvert avec « une force malveillante », les villageois se réunissent en secret pour commencer leur rituel. « Draw Blood » marque l'acte de sacrifice, une violente porte d'entrée vers les forces surnaturelles qui suivront bientôt.
« La résurrection de Kariba » équilibre la grandeur cérémonielle avec une tragédie, racontant son exécution et son chagrin alors que le culte insuffle la vie à sa légende. Le hollandais « ik kom uit het graf » amène le passé à s'écraser dans le présent avec KaribaLe retour vengeur de la tombe, et plus près « Venomous 1666 » livre le dernier acte, où KaribaL'esprit renaissant consomme ses invocateurs et condamne leur âme à sa colère. À un peu moins de 21 minutes, l'EP offre une tempête concentrée d'orchestration, de férocité et de narration macabre.
Avec Le culte de Kariba, Carach Angren Rebranchez-vous avec les origines de leur esthétique tout en la poussant dans des coins encore plus sombres. Enregistré au Tidal Wave Studio en Allemagne, avec Patrick Damiani Traiter les guitares, les basses et les tâches de production de studio, et Gabe Seeber À la batterie, l'EP porte la marque de marque d'une orchestration méticuleuse et de la narration dynamique.
Ardek une fois de plus dirige les compositions et les arrangements, tandis que Segor donne vie l'histoire à travers sa livraison vocale indubitable. Mélangé et maîtrisé par Damianiavec la maîtrise du vinyle par Robert Schmidtla production souligne le balayage théâtral de l'histoire avec clarté et intensité. Les précommandes sont disponibles ici.
Pour les fans, cet EP n'est pas seulement un retour au familier mais une expansion de Carach AngrenUnivers mythologique. Le Culte de Kariba étend la tradition fantomatique de Schinveld en quelque chose encore plus sinistre, tissant le rituel occulte, la vengeance et la tragédie dans un récit étroitement ciblé. C'est à la fois un retour à la maison et un pas en avant, réaffirmant Carach AngrenLa place comme l'un des conteurs les plus distinctifs du métal extrême.